Parce qu'ils le valent bien

Publié le par Jean-Louis Connard

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Ca y est, fin de l'histoire, les Bleus sont éliminés, n'en parlons plus. Inutile de rajouter de l'eau au moulin qui s'est trop vite emballé. Passons à autre chose, ne parlons surtout pas de foot, et voyons un peu ce qui se passe ailleurs qu'en Afrique du Sud.

Focalisons nous sur notre cher pays, où le ministre du Travail Eric Woerth se retrouve au coeur d'un scandale politico-financier à cause de sa femme et de son rôle auprès de Liliane Bettencourt. Il y a quelques semaines, je me demandais pourquoi on parlait autant de l'héritière de l'Oréal, avec cette sombre histoire de manipulation, doublée de tirs croisés entre sa fille et un photographe. Mamy Bettencourt voulait se taper un petit jeune, mais voilà, c'était un gigolo à 1 milliard d'euros la passe. Ce qui aurait pu boucher le trou de la sécu a servi à boucher celui de la bourgeoise... La bourgeoise d'Eric Woerth, elle, se voit contraint de démissionner, la pauvre. Elle va devoir vivre sur le salaire de son mari, on la plaint tous. A moins que son mari ne fasse de même. Parce que c'est pas parce que les joueurs de l'équipe de France n'assument rie qu'il faut faire pareil. Allez hop ! Démission ! N'est pas Escalettes qui veut !! (Merde, j'ai parler de Bleus...)

On a vu aussi qu'il a fallut une tempête et une inondation pour que Nicolas Sarkozy se rende compte qu'il y avait des zones constructibles et d'autres non. Merci Réactif-Man. Xynthia fait des morts, on laisse faire le temps, et c'est Draguignan qui compte ses cadavres. Un peu comme avec Domenech, qui se plante à l'Euro 2008, on laisse faire le temps, et il nous fout la honte sportive du siècle deux ans plus tard. (Ah ! Putain ! Qu'est-ce qui m'arrive ! Pardon d'avoir parler de Raymond...)

J'aurai pourtant essayé, mais c'est un échec. Trois articles qui parlent de foot en une semaine. Mais où allons nous? J'essaye d'axer mes propos sur l'actualité française, et voilà que sortent naturellement des noms d'oiseaux comme Escalettes et Domenech. Me voilà contraint et forcé d'équilibrer les sentences afin que personne ne soit oublié : EVRA, JE TE CHIE DESSUS, SALE MERDE!!!!!!!!

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